École des métiers de la construction de Montréal - Montréal, Québec

Its-Julzz -.

Ce message s’adresse à toi — celui ou celle qui se demande : « À quoi ressemblent les profs en charpenterie dans cette école ? »

Attache ta tuque, parce que ces profs vont te donner un avant-goût réel du métier, tel qu’il est sur le terrain ! Ils sont là pour t’aider, te pousser, et te préparer à réussir dans cette belle carrière. Mais n’oublie pas : ce sont des humains, chacun avec sa personnalité, son approche et son style. À toi de t’adapter.

Pousse tes limites. Sois ouvert d’esprit. Apprends chaque technique qu’ils t’enseignent. Sois ponctuel et concentré — ils vont le remarquer et te donner tout ce qu’ils ont pour t’aider à réussir ton DEP.

Un grand merci à vous tous :
Gilles, Gilles Champoux, Scott, François (pas de cheveux 😄), William, Peter, Nathalie et François Legault.

J’ai passé un cr*ss de bon moment dans mon DEP avec vous autres et avec notre gang du groupe Cha-32.

– Brian Julian
(oui, celui avec le “bo pouch”)

Dee

Les profs sont super chouettes, l'ambiance est agréable, je détestais l'école quand j'étais jeune, mais là j'aime bien mon expérience. Je ne regrette pas ma décision de
Reorientation de carrière. 👍

Antoine L.

Que dire, personnellement une bonne école avec des professeurs compétents. La gestion de l'école pourrait être mieux d'après ce que j'ai vue. En tout et partout une bonne école avec un bon calibre d'enseignement. Je vous la recommande fortement.

Kevin B.

Vrai ecole de marde bataille entre prof 5 profs different pour un module ,construction partout pas capable de se concentré en examen et presque 1 ans apres mes etudes tjrs impossible davoir mon bulletin pcq le staff est incompetent RESTEZ LOIN

Khaled E. D.

J ai étudié à cette école.. .j ai besoin de demander un consultation de ccq, j ai appelez 100 fois pas des réponses..les bureaux toujours vide ,comme les employés sont toujours en vacances ou en pose...je ne sais pas qui dirige et comment il dirige le directeur

Maverickou

Administration rarement présente et personne réponds au téléphone… difficile à rejoindre. Il manque de classes alors on as du faire des examens dans les corridors, et problèmes de « overbooking » plusieurs classes pour une seul salle de module.

Myriam P.

2e avis sur l'école
loue des place de parking au étudiants et ils n'ont pas assez de place alors il paye une compagnie pour donner des beaux ticket au étudiants

hey ca me coute 160$ par semaine aller a votre criss d'école je travail de soir et de fin de semaine pour subvenir a ma famille pi la a cause de vous je depense mes payes dans des osti de ticket a 100$ la shot

ca pas d'allure ca lui tente pas au surveillant d'élèves davoir une liste avec les nom les plaques le type de voitures et de ce promener dans le parking au lieu de faire chier les étudiants quy veulent sen sortir

la vie coute deja asser cher dememe

vous voulez avoir plus de femme dans les métiers de construction mais vous donnez des cours à 7h du matin

les femmes les mamans ont des enfants à aller porter à la garderie , école et il ouvre régulièrement entre 7h et 8h le matin alors comment voulez-vous que les mamans puissent envisager de retourner au études si les cours sont pas adaptés et vous les empêcher de pouvoir y participer

comme moi je commence bientôt mon cours il étais sensé commencé a 7h45 et finalement c'est 7h30 et on me dit que je dois être présente vers 7h si je veux une place de parking

j'habite à 60km de l'école plus 2 enfants à déposer séparément un école et un garderie

alors j'ai gaspiller 700$ pour un cours que je vais me faire mettre dehors après 2 3 retard
j'en reviens tout simplement pas
485$ le linge obligatoire
200$ frais de livre et tralala
91$ de ticket (pour aller chez moderna) parce que à mtl les voitures sont les ennemis de la circulation

Maxime R.

Matéo et le Mystère du Lait à la Fraise

Il était une fois, dans une petite ville industrielle appelée Boulonville, un soudeur nommé Matéo. Matéo était un homme ordinaire, avec une passion pour les soudures, les étincelles et les métaux en fusion. Mais il avait un secret : il croyait que le lait à la fraise lui conférait des pouvoirs surnaturels.

Chaque matin, Matéo se levait, enfilait sa combinaison de soudeur et se dirigeait vers l'usine de Boulonville. Mais avant de commencer sa journée de travail, il s'arrêtait toujours au petit café du coin pour commander son lait à la fraise. Le serveur, un homme aux cheveux poivre et sel, hochait la tête avec un sourire complice. "Encore le lait à la fraise, Matéo ?" demandait-il.

Matéo acquiesçait, sirotant son breuvage rose vif. "C'est mon carburant secret", répondait-il. "Ça me donne des pouvoirs spéciaux pour souder plus vite, plus fort et plus précisément."

Le serveur haussait un sourcil. "Des pouvoirs, hein ? Et quels sont-ils ?"

Matéo souriait mystérieusement. "Eh bien, regardez." Il pointait son doigt vers un tas de ferraille dans un coin du café. D'un geste théâtral, il lançait une étincelle de ses doigts. La ferraille se mettait à vibrer, à danser, puis à se transformer en une sculpture en acier inoxydable représentant un chat avec des ailes d'aigle. Les clients du café applaudissaient, ébahis.

"Voilà mon pouvoir", déclarait Matéo. "Le lait à la fraise me donne la créativité et la dextérité nécessaires pour façonner le métal comme personne d'autre."

Mais un jour, un rival jaloux nommé Hector, un soudeur professionnel et buveur de café noir, découvrit le secret de Matéo. Hector était convaincu que le lait à la fraise était une supercherie. Il décida de défier Matéo lors d'un grand concours de soudure qui aurait lieu à l'usine de Boulonville.

Le jour du concours arriva. Matéo et Hector se tenaient face à face, leurs masques de soudeur abaissés. Les spectateurs retenaient leur souffle. Matéo prit une gorgée de son lait à la fraise, tandis qu'Hector ajustait sa torche à souder.

Le signal fut donné, et les deux soudeurs se mirent au travail. Matéo soudait avec grâce, créant des sculptures en métal qui semblaient prendre vie. Hector, quant à lui, s'acharnait sur les pièces, mais sans la même magie.

Finalement, Matéo termina son chef-d'œuvre : un dragon en acier avec des yeux qui brillaient comme des étoiles. Les spectateurs applaudissaient, émerveillés. Hector, en sueur, abandonna sa torche et s'approcha de Matéo.

"Comment fais-tu ça ?" demanda-t-il. "Quel est ton secret ?"

Matéo sourit. "C'est simple. Le lait à la fraise me donne des pouvoirs de super soudeur. Mais chut, c'est notre petit secret."

Et depuis ce jour, Matéo continua de boire son lait à la fraise, soudant des merveilles et émerveillant la ville de Boulonville. Et si vous passez par le petit café du coin, peut-être verrez-vous Matéo en train de siroter son breuvage rose vif, un sourire malicieux aux lèvres, prêt à créer des miracles en métal. 🌟🔧 🥳